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Ladataan... Little, Big : Part 1Tekijä: John Crowley
- Ladataan...
Kirjaudu LibraryThingiin nähdäksesi, pidätkö tästä kirjasta vai et. Ei tämänhetkisiä Keskustelu-viestiketjuja tästä kirjasta. "Un certain jour de juin, le jeune Smoky Barnable quitte la grande Cité par le nord afin d’aller épouser sa bien-aimée Daily Alice et vivre avec elle dans la demeure d’Edgewood, jadis construite par John Drinkwater, architecte excentrique passionné de sciences occultes, afin d’y loger sa famille." "Edgewood : une maison qui n'en est pas une, mais dix, cent. Une folie architecturale sur laquelle le temps n'a plus de prise. Un refuge au milieu des bois pour les derniers vestiges d'un royaume imaginaire bientôt disparu. Edgewood : un endroit hors du monde où se nouent les fils de la vie, où l'amour, la mort et le souvenir tissent des liens invisibles autour des femmes et des hommes. Un lieu enchanteur où s'écrira le testament d'une époque, sous la forme d’un Conte, lorsque, pour la dernière fois, se réunira le Parlement des Fées." näyttää 2/2 ei arvosteluja | lisää arvostelu
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C'est quoi au fait l'histoire pourriez-vous me demander ? En fait le problème est là. Une histoire, il y en a une mais la raconter serait inutile. Ou risible. Voilà ce que cela pourrait donner: c'est un livre qui s'appelle Le Parlement des fées (mais en fait c'est pas comme ça qu'il devrait s'appeler) dans lequel il n'y pas de fées mais en fait si - ou non. Risible, n'est-ce pas ? Si vous regardez bien d'ailleurs à droite ou à gauche sur internet, vous verrez que pas mal de personnes se contente de raconter le début de l'histoire: il était une fois un dénommé Smoky Barnable qui se rend dans une drôle de demeure située dans un village indiqué sur aucune carte (Edgewood) pour s'y marier. Saine prudence ! Le Parlement des fées au fond résiste mal au résumé parce que c'est un livre dans lequel on entre (ou non d'ailleurs, il peut ennuyer parce qu'on n'adhère pas, un peu comme à l'existence des fées au fond ! ) comme dans un mystère, on est heureux de le suivre comme une rivière. En fait, on est dans la même situation que Grand-père Truite (cf. l'extrait dans mon post précédent):on se laisse porter par l'écriture et de temps en temps on se demande à quoi rime tout cela et on oublie parfois de se le demander (alors qu'il le faudrait !!!) et on passe à côté. A force d'être trop proche, on ne voit pas: Le Conte avait-il seulement besoin d'un messager quelconque, d'un maquereau, l'avait-Il saisi parce qu'il passait assez près pour cela ? Mais ce n'est pas grave, Le Parlement des fées, c'est un livre qu'on relira forcément (on le sait avant même de l'avoir fini tant les détails sont nombreux et la promenade riche).
En bref, à découvrir absolument ! ( )