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Kotkan lahja (1981)

Tekijä: Carlos Castaneda

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8571125,037 (3.5)2
Carlos Castaneda takes the reader into the very heart of sorcery, challenging both imagination and reason, shaking the very foundations of our belief in what is "natural" and "logical." His landscape is full of terrors and mysterious forces, as sharply etched as a flash of lightning on the deserts and mountains where don Juan takes him to pursue the sorcerer's knowledge--the knowledge that it is the Eagle that gives us, at our births, a spark of awareness, that it expects to reclaim at the end of our lives and which the sorcerer, through his discipline, fights to retain. Castaneda describes how don Juan and his party, left thisworld--"the warriors of don Juan's party had caught me for an eternal instant, before they vanished into the total light, before the Eagle let them go through"--and how he, himself, upon witnessing such a sight, jumped into the abyss.… (lisätietoja)
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Having finally gone off the deep end, Castaneda is less convincing than ever here, and more boring.

Even with the introduction of more cartoonish bad guys, there's no entertainment here, and certainly no insight.

But at least there are blobby spirit energies blooping around. ( )
  3Oranges | Jun 24, 2023 |
Librería 2. Estante 1.
  atman2019 | Jul 16, 2019 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Castaneda-Le-don-de-laigle/28946
> BAnQ (Dussault J.-C., La presse, 3 avr. 1982,) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2291874

> Depuis le jour où l'étudiant en ethnologie Castaneda a rencontré pour la première fois le maître Juan Matus, le chemin parcouru a été très long, à la fois dans l’espace, dans le temps et par-delà l’espace et le temps. De ce voyage vers la « tierce attention », nous ne possédions jusqu’ici que des jalons épars — les ouvrages où Castaneda retraçait les expériences vécues par le disciple, telles que celui-ci les avaient ressenties dans l’instant. Avec « Le Don de l’Aigle», l’apprenti, passé maître, a enfin la possibilité de prendre un certain recul par rapport au vécu et de jeter sur l'ensemble de son cheminement un regard qui intègre contradiction apparentes et incertitudes.
Le devoir, 27 févr. 1982

>  Carlos Castaneda. – L’herbe du diable ou la petite fumée, Paris - Le Soleil Noir, 1972 ; Voir, Paris, Gallimard, 1973 ; Le voyage à Ixtlan, Paris, Gallimard, 1974 ; Histoires de pouvoir, Paris, Gallimard, 1978 ; Le second anneau de pouvoir, Paris, Gallimard, 1979 ; LE DON DE L’AIGLE, Paris, Gallimard, 1982 ; Le feu du dedans, Paris, Gallimard, 1984 ; La force du silence, Paris, Gallimard, 1988. — En 1960, Carlos Castaneda, jeune anthropologue de l’Université de Los Angeles, spécialisé dans l’étude des plantes hallucinogènes, rencontre au Mexique un sorcier yaqui nommé Don Juan. Ce dernier, après avoir testé Carlos et mesuré son « inflexible résolution », qualité indispensable et fondamentale pour devenir « apprenti », accepte de lui transmettre sa science et de faire de lui un « homme de connaissance ». Commencent alors de longues années d’apprentissage, auprès de Don Juan et d’autres sorciers, apprentissage souvent ardu et douloureux qui prend parfois l’allure d’une aventure terrible et sans retour, où l’auteur, mené aux confins de lui-même, vit une transformation radicale de son être. Des relations extrêmement fortes s’installent entre Carlos et Don Juan ainsi que les autres sorciers et apprentis qu’il rencontre. Quel que soit son niveau de lecture et de compréhension, le lecteur est frappé par le caractère extraordinaire de ce maître sorcier qu’est Don Juan, par son étonnante pédagogie et par l’apothéose de cette relation maître-disciple où le maître, après avoir participé à la transformation radicale du disciple lui confère le titre de maître, assurant ainsi sa filiation.
Renverser les schémas connus, brûler tous les masques qui servent nos conditionnements afin de devenir « un homme de connaissance », voilà ce qu’enseigne le sorcier à l’anthropologue. Devenir « un homme de connaissance », c’est d’abord développer une écoute totale du corps, savoir accorder celui-ci aux tonalités du monde extérieur, apprendre à percevoir avec le corps tout entier, libérer le mental de cette surcharge d’activité que l’homme d’aujourd’hui s’impose et par là-même, chercher la vérité et non le savoir. Au cours de cette initiation, il apprend aussi à développer un nouveau rapport avec la nature ; celle-ci considérée comme « consciente » doit être traitée « impeccablement » de même que la création toute entière. Mieux encore, l’apprenti doit chercher à intérioriser le cosmos, à l’incorporer totalement jusqu’à créer un sentiment total d’unité avec le monde extérieur et pouvoir incarner l’esprit de chacun des éléments du cosmos. Autre thème récurrent de ces ouvrages : celui de la peur. Le « guerrier » cher à Don Juan doit cultiver en lui la force de poursuivre son apprentissage jusqu’au bout sans défaillir et surmonter avec succès toutes les épreuves les plus terrifiantes qui lui sont proposées pour extirper de lui ce fléau. Carlos est mis tout d’abord en situation d’expérimenter la peur afin d’évaluer soigneusement les sensations qu’elle génère et apprendre ensuite à la dominer en lui faisant face. La dominer aussi en se familiarisant avec la mort, et faire de celle-ci une alliée, un guide : « Il existe un étrange et brûlant bonheur dans le fait d’agir en sachant que cet acte peut tout aussi bien être le dernier de sa vie. Je te demande de reconsidérer la tienne et d’accomplir tes actions en pensant à cela ».
Revue Française de Yoga, (1), Janv. 1990

> LE DON DE L 'AIGLE, de Carlos Castaneda. … ; (en ligne),
url : https://static.wikia.nocookie.net/krishnamurti/images/c/c3/CDY-42-OCT-1982-Pages...
— Carlos Castaneda vient de publier un cinquième volume dans le cadre de la collection Témoins de chez Gallimard. C’est le sixième en tout, si l’on ajoute le tout premier, pris en charge, à l’origine par les courageuses éditions du Soleil Noir, en un temps où l’Ethnologue américain, devenu maintenant le Praticien expérimenté d’une étonnante Voie spirituelle, était encore tout-à-fait inconnu. Et pas encore un Best-seller.
Carlos Castaneda a suscité de nombreuses polémiques. Il dérange, en effet, de nombreuses habitudes intellectuelles et spirituelles. Certains aimeraient que cet homme soit un esprit dérangé, un imposteur ou un naïf invétéré. Ils ne l’ont jamais rencontré. C’est dommage car le contact physique apporte, en l’occurence, une vérification fondamentale que peut esquiver le talent littéraire. Je l’ai rencontré, pour ma part au Mexique. Ensemble nous avons fait, en compagnie de l’écrivain Fernando Bénitez, le voyage à Tula qu’il mentionne au début du Don de l'Aigle. Une longue conversation m’a permis, ultérieurement, de mieux connaître l’homme et de discerner plus clairement le propos de ses livres.
Carlos n’est ni un esprit malade ni un imposteur. Dès le premier contact on sent en lui une force intérieure massive qui donne un grand poids à ses paroles. Un grand humour aussi car, avec lui et Fernando, nous avons bien ri. Cet humour est le signe d’une grande sagesse et la légèreté paradoxale du discours révèle vite une vraie gravité. Il parle de lui-même avec un détachement souriant, mais le rire des sorciers mexicains n’est pas l’arme la moins redoutable de leur panoplie.
Pour lire Castaneda, il vaut mieux prendre ses ouvrages dans l'ordre de leur parution. Cet ordre n’est pas chronologique mais le temps réel, ici, ne fait rien à l’affaire. Le dévoilement progressif des expériences spirituelles s’opère à la manière d’une spirale qui descend vers les profondeurs bien qu'elle semble repasser inlassablement par les mêmes points.
Le Don de l’Aigle, toutefois, fait le bilan de nombreuses années de pratique. Il affirme, une fois de plus, que la conscience humaine possède deux pôles. Sur le côté droit, le pôle du Tonal, assure le champ de la conscience réfléchie, organisée, alors que le côté gauche est le domaine du Nagual qui met en contact avec l’ultime réalité, celle qui transcende toute structure conceptualisée. Entre ces deux mondes, une zone frontière - nommée le territoire des lignes parallèles - constitue une barrière de prime abord infranchissable. Seuls peuvent la franchir les êtres qui ont subi l’entraînement nécessaire pour effectuer ce passage. Le Don de l’Aigle nous raconte la traversée d’un pont de pierre qui n’était pas seulement un ouvrage d’art mais une barrière spirituelle offerte aux apprentis comme une tentation, une épreuve et, finalement comme la voie d’une plus grande liberté.
Le don que l’Aigle fait aux hommes est une règle de vie. N’allez pas entendre par là la description détaillée d’une existence conduite par un ensemble de modèles. Cette règle est plus qu’une charte. C’est une carte, au sens géographique du terme. Cette carte est remise aux apprentis pour qu’ils puissent trouver leur chemin quotidien dans un art de vivre qui n’est pas la répétition indéfinie des mêmes pratiques. Ce système de référence exige de l’adepte un travail épuisant qui font de lui un guerrier ou un chasseur sans cesse sur le qui-vive. Ce chemin est balisé par des étonnements monstrueux et de sévères remises en question. Il n'a rien de confortable. Il n’est même pas rassurant. Découvrir son côté gauche, travailler à se maîtriser, s’apercevoir enfin qu’il donne sur un monde qui n’est plus coordonné par la raison raisonnante, voir enfin que cet univers n’est pas un chaos mais qu’il est la structure subtile du réel, tout cela n’est pas jeu d’enfant ou conformité à des modalités habituelles de vie et de pensée. Marcher « à la carte » suppose l’inexistence d’un chemin préalablement tracé. Cette progression n’a pour jalons que des surprises, souvent désagréables. Elle n’est faite ni pour les promeneurs du Dimanche ni pour les courriers qui empruntent les chemins rebattus.
Que peuvent attendre les praticiens du Yoga de la lecture des livres de Carlos Castaneda. Assurément aucune recette, aucune proposition concrète pour étoffer un enseignement ou enrichir une discipline.
Alors à quoi bon ?
La seule réponse possible fait encore appel à la dissymétrie qui marque l’organisme humain. Elle fait allusion à l’ignorance de notre côté gauche. Peut-être notre yoga est-il trop symétrique. Trop stabilisé sur des bases carrées. « Square » diraient les Anglo-Saxons avec une grande méfiance. Il ne s’agit pas simplement de la symétrie des postures mais de la recherche d’une forme d’équilibre apparemment stable et, finalement dangereux. Rien de plus facile de bloquer le fléau d’une balance pour maintenir les plateaux à hauteur égale. La lecture de Castaneda peut être une choc salutaire. Elle peut remettre en question une façon d’être et d’enseigner. Découvrir son côté gauche est bien autre chose qu’un effort pour atteindre l’ambidextérité. Il s’agit de basculer, de sauter dans le vide pour découvrir enfin que l’homme a des ailes invisibles. C’est le Don de l’Aigle, mais l’Aigle dévore ses enfants qui se refusent à bondir hors du nid quand la croissance de leurs plumes peut assurer leur vol. Le Yoga peut être aussi un nid douillet. Le Maître et l’élève peuvent s’installer dans le duvet. Lire le Don de l’Aigle c’est rencontrer l’occasion de sauter dans l’inconnu. Paris, Gallimard 1982 .
Bonne chance ! (Maurice COCAGNAC)
Carnets du Yoga, octobre 1982 ( )
  Joop-le-philosophe | Mar 17, 2019 |
In his first book, The Teachings of Don Juan: A Yaqui Way of Knowledge, Castaneda, who was a graduate student in anthropology at the time, describes the lessons Don Juan taught him about shamanism and mysticism. His subsequent books, including The Eagle’s Gift, continue to take the reader through Castaneda’s spiritual journey. Castaneda presents his work as nonfiction, although Wikipedia describes the challenges that some anthropologists have made to his claims.

True or not, I liked The Teachings of Don Juan because I really connected to parts of it and felt like I got something out of it. That was not the case with this book. I had a lot of trouble understanding and paying attention to what was happening in the first two sections, although the third section was better. Maybe I would have gotten it more if I had read Castaneda’s books in the order he published them. I just never felt like this book “talked” to me, which is what a good book on any kind of religion or spirituality should do. ( )
  AmandaL. | Jan 16, 2016 |
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Carlos Castaneda takes the reader into the very heart of sorcery, challenging both imagination and reason, shaking the very foundations of our belief in what is "natural" and "logical." His landscape is full of terrors and mysterious forces, as sharply etched as a flash of lightning on the deserts and mountains where don Juan takes him to pursue the sorcerer's knowledge--the knowledge that it is the Eagle that gives us, at our births, a spark of awareness, that it expects to reclaim at the end of our lives and which the sorcerer, through his discipline, fights to retain. Castaneda describes how don Juan and his party, left thisworld--"the warriors of don Juan's party had caught me for an eternal instant, before they vanished into the total light, before the Eagle let them go through"--and how he, himself, upon witnessing such a sight, jumped into the abyss.

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