KotiRyhmätKeskusteluLisääAjan henki
Etsi sivustolta
Tämä sivusto käyttää evästeitä palvelujen toimittamiseen, toiminnan parantamiseen, analytiikkaan ja (jos et ole kirjautunut sisään) mainostamiseen. Käyttämällä LibraryThingiä ilmaiset, että olet lukenut ja ymmärtänyt käyttöehdot ja yksityisyydensuojakäytännöt. Sivujen ja palveluiden käytön tulee olla näiden ehtojen ja käytäntöjen mukaista.

Tulokset Google Booksista

Pikkukuvaa napsauttamalla pääset Google Booksiin.

Ladataan...

Stick Out Your Tongue: Stories

Tekijä: Ma Jian

Muut tekijät: Katso muut tekijät -osio.

JäseniäKirja-arvostelujaSuosituimmuussijaKeskimääräinen arvioMaininnat
2077130,556 (3.86)42
A Chinese writer whose marriage has fallen apart travels to Tibet. As he wanders through the countryside, he witnesses the sky burial of a Tibetan woman who died during childbirth, shares a tent with a nomad who is walking to a sacred mountain to seek forgiveness for sleeping with his daughter, meets a silversmith who has hung the wind-dried corpse of his lover to the walls of his cave, and hears the story of a young female incarnate lama who died during a Buddhist initiation rite. In the thin air of the high plateau, the divide between fact and fiction becomes confused and the man is drawn deep into an alien culture he knew nothing about, and which haunts his dreams. Banned in China in 1987, Stick Out Your Tongue, is the hugely influential book that set Ma Jian on the road to exile.… (lisätietoja)
Ladataan...

Kirjaudu LibraryThingiin nähdäksesi, pidätkö tästä kirjasta vai et.

Ei tämänhetkisiä Keskustelu-viestiketjuja tästä kirjasta.

» Katso myös 42 mainintaa

englanti (6)  ranska (1)  Kaikki kielet (7)
Näyttää 1-5 (yhteensä 7) (seuraava | näytä kaikki)
These stories tell the experiences of their narrators with a reality that rejects simple chronology and order. The sexuality is disturbing; the prose and detail are almost nauseating in their unflinching clarity. Ma Jian's genius is clear in the first story, "The Woman and the Blue Sky," which uses frustrated dialogue and the details of death to compel. The relations between men and women show an absolute binary of control and victimization, exercised through sexual and other violences, elaborated by different shades of myth and storytelling, all of which seem to be painted upon narrative presents in which at least one person is starving to death. These stories are an honest reflection of a certain perception of human life, a certain vantage point from which existence can be observed--but it is so different from my own that my first reaction was motion sickness. ( )
  et.carole | Jan 21, 2022 |
Tibet through eyes of Chinese traveler, strange tales, almost hallucinatory in places, banned in China for negative view of Tibetians
  ritaer | Aug 4, 2021 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Jian-La-mendiante-de-Shigatze/72864
> BAnQ (Tanguay A., Le libraire, No 41 | Juillet - Août 2007) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2562744

> CET ÉCRIVAIN chinois est né en 1953 à Quingdao. Ses premiers récits sont parus en Chine en 1987 et firent scandale par leur audace. Un glossaire complète les cinq petits récits rassemblés dans ce volume.
Le devoir

> Marie-Pia Stanley, Christianisme et réincarnation, l'Or du Temps ;
Pierre-Antoine Donnet, Le Tibet mort ou vif, Gallimard ;
Ma Jian, LA MENDIANTE DE CHIGATZÉ, Actes Sud.
Puisque nous avons parlé et de réincarnation et de Tibet, je vous présente trois livres ayant trait à ces sujets. Le premier, « Christianisme et réincarnation, vers la réconciliation. » de Maria-Pia Stanley, aux éditions « l'Or du Temps », annonce très précisément son propos dès le titre. Jusqu'à maintenant l’hypothèse des vies plurielles était rejetée par l'Église : rappelons nous les malheurs d'Origène qui croyait en la pré-existence des âmes et fut condamné par le deuxième Concile de Constantinople en 553. Mais de nos jours, cette proposition semble recueillir le soutien expérimental de certains chercheurs. Deviendra-t-elle une connaissance d’ordre scientifique ? En effet, un neuro-psychiatre américain, le Professeur Stevenson, a fait des recherches sur « l'espace intérieur ». Il a fait un travail approfondi sur de jeunes enfants et soumis ses découvertes à un contrôle très minutieux. Il est ainsi parvenu à repérer » la trace, chez l'être humain, d'un « noyau psychique » présentant la particularité de rester indemne malgré la désintégration du corps, d'emporter avec lui sa mémoire, puis de s'unir à un nouvel organisme physique ». Et d'autres chercheurs, dans d'autres pays, travaillent dans ce sens.
Alors Maria-Pia Stanley, chrétienne et réinçarnationiste, aborde une série de sujets à propos desquels elle estime que l'Église soit donne des réponses faisant appel, chez ses ouailles, plus à un sentiment de soumission qu'à la logique, soit garde le silence quand elle n'a pas éliminé le problème. Ainsi, quelle est la réponse de l'Église aux problèmes du mal et de la souffrance, surtout maintenant que les « deux principaux fauteurs de trouble, le pêché originel et le diable sont pratiquement mis au rancart » ? Très schématiquement : « Dieu sait ce qu'il fait ! » D'autre part, dans les cathéchismes, le mot « âme » n’est plus employé que dans le sens de « voix de conscience ou souffle vital » et plus du tout dans celui « d'entité spirituelle inséparable du corps ». « Sans corps, il n'y a pas d'âme. Car une âme qui n'anime rien n'est pas une âme ; elle n’est rien. » Écrit le R.P. Rey-Mermet dans un manuel récent destiné à la formation des catéchistes, « Croire ».
Et l'immortalité de l'âme ? Que se passe-t-il alors après la mort ? Silence…
Et puis une seule petite vie pour gagner l'éternité, c'est bien peu ! Et de nous asséner : « L'idée d'une âme sous-dimensionnée par rapport à son corps et à ses immenses ressources évolutives ; le temps rétréci au seul espace d'un parcours compris entre le berceau et la tombe ; l’éternité figeant à jamais le sort de l'être à l'issue d'une unique expérience, tels sont les fruits raccornis du cocotier métaphysique qu'il conviendra de secouer bien fort car ils sont désormais dépourvus de tout attrait pour les appétits modernes. »
Car, pour notre auteur, les fidèles ont atteint une « maturité rationalisante » qui ne fait que grandir. Ils n'acceptent plus les attitudes traditionnelles face aux questions qu'ils se posent. La doctrine de la réincarnation peut alors prendre le relais, d'autant plus qu'on en trouve des traces dans l'Évangile (la parabole des ouvriers de la onzième heure, par exemple). L'Église, comme Jésus d'ailleurs qui n’a jamais insisté, n'a pas jusqu’alors développé ce point de vue parce que le peuple chrétien n'y était pas prêt.
En effet, cette doctrine peut être source de laxisme, d'égoïsme, d'indifférence. « C'est le karma… la rançon des vies antérieures… j'ai du temps devant moi… » pourraient être les réactions devant la vie, ses malheurs, ses exigences tant matérielles que spirituelles. Mais les mentalités ont évolué et son prêtes à accepter la doctrine de la réincarnation. Et tout le monde y « trouverait son compte », pourrait-on dire un peu familièrement ! L'Église qui pourrait combler ces silences doctrinaux et répondre ainsi à l’attente des fidèles, ces derniers qui seraient satisfaits des réponses données à leurs interrogations et enfin Dieu ! Il ne sera plus « cet interventioniste maniaque qui distribue de ci, de là, sanction et récompenses », car en fait il est tout amour et toute paix. « Dieu n’est que l'impulseur du projet de base, en ce sens qu'il a institué la loi karmique et la pluralité des existences comme vecteurs de sa miséricorde et rouages indispensables au moteur de l'évolution. » Mais la trame Karmique, c'est nous qui la tissons.
Et nous devons « continuer d'appeler au secours et surtout de demander sans relâche que tous les événements - heureux ou malheureux - contribuent à réaliser sa volonté dans notre âme et que le tout venant du quotidien - agréable ou pénible - soit changé en or spirituel. » Cela nous incitera à chercher Dieu au fond de nous et à comprendre que le royaume est au-dedans de nous.
Maria-Pia Stanley est érudite et convaincue du bien-fondé de ce qu'elle propose ; elle manie parfaitement la langue ; elle a un grand sens de l'humour et des phrases-choc. Son livre se lit très facilement : il est fort intéressant, bien documenté, les arguments sont présentés avec clarté et logique. Je l'ai lu avec beaucoup d'attention et de plaisir, mais il ne m'a pas convaincue… Peut-être ne suis-je pas encore mûre !
Les deux autres ouvrages ont trait au Tibet. Le premier, « Le Tibet mort ou vif » (dans la collection « Au vif du sujet », chez Gallimard) est écrit par Pierre-Antoine Donnet journaliste et correspondant à Pékin de 1984 à 1989. Il a pu, après maintes tentatives, retourner au Tibet (il y était allé en 1985 et le reportage qu'il avait fait à cette époque n'avait pas eu l'heur de plaire aux Chinois !), et il a écrit ce livre, que je considère comme un appel à la conscience des Occidentaux, en général si chatouilleux quand les Droits de l'Homme sont en cause. Or dans ce cas c'est une violation quotidienne des Droits de l'Homme, plus encore : un génocide. Assassinats, tortures de moines et de nonnes, déportation dans les camps de rééducation de milliers de gens, avortements imposés, stérilisation de jeunes filles, installations de millions de Chinois dans le pays, propagande communiste, démolitions de milliers de temples, sinisation des noms tibétains (cf. la quatrième et dernière édition disponible du guide Nagel de la Chine !!!), implantation d'armes nucléaires et puis, moyen de conviction pervers, l'arrivée sur les marchés de monceaux de produits de consommation chinois. « C'est un véritable génocide culturel, linguistique et religieux » écrit Elisabeth Badinter dans la préface « la sinisation systématique est à moyen terme mort assurée du Tibet. Et cela, dans l'indifférence générale… »
C'est pour briser cette indifférence que cet ouvrage a été écrit.
De quoi relève le petit livre paru aux éditions Actes Sud il y a deux ans déjà sans provoquer beaucoup d'imagination ? De l’indifférence ou de la participation (peut-être involontaire) au génocide ? Intitulé « La mendiante de Chigatzé », écrit par un Chinois dénommé Ma Jian « qui doit à sa double formation de photographe et de peintre, le réalisme et la beauté de ses descriptions… dont l'audace fit scandale en Chine », cet ouvrage présente, par le biais de cinq nouvelles d'allure anodine, une caricature grossière des traditions religieuses tantriques du Tibet. Il les bafoue par le moyen d’une pornographie de très bas étage, et ça, c'est scandaleux. Je m'étonne que les éditions Actes Sud, qui nous ont habitués à des publications de qualité, aient pu publier un tel « torchon » qui, j'en suis convaincue, fait partie de l'entreprise de génocide menée au Tibet par les Chinois.
L'année 1991 sera l'année du Tibet. De nombreuses manifestations sont prévues, notamment par le musée Guimet : nous vous en reparlerons ou afficherons les programmes. C.H.
Carnets du Yoga, (123), Novembre 1990
  Joop-le-philosophe | Jun 2, 2020 |
Ma Jian's stories in this book are some of my favourite short stories. I discovered Ma Jian after I had begun my own writings, by the recommendation of a friend who told me I would find them inspiring.
Indeed, I did.
I love short stories and I think Ma Jian's stories in this book are so compellingly true that although it's fiction, it carries that unmistakeable element of truth, being written in the first person. Ma Jian does it with simple words, no fancy packaging, no smart sentences.. Just simplicity.

I am not going to write a spoiler, no way.

This is a kind of book you will either love or resent. In either case, it will make you think and I love books that make me think. The beauty of life lies, to me, in all it's mystery, both human and non human, however our human ways have to be considered as unique and often questionable in the realm of life and there are no answers but nonetheless we have the power to observe them and to judge them for better or for worse.

( )
  mmmorsi | Aug 24, 2018 |
Ma Jian, a Chinese writer, traveled alone through the Tibetan highlands during a period of personal difficulty, hoping to reconnect to nature and to his Buddhist faith. What he found, and wrote about in these five short stories, not left him even more desolate than before, but caused him to be banned in his native China. Tibet has been much romanticized over the years by Hollywood and naive Western spiritual tourists. Ma Jian reveals the harsh truths of Tibet life as he experienced it. While there is beauty and deep humanity, it's also violent, stark, filled with horrible suffering, poverty and superstition. I found the work profound, and masterfully written; I also found it shocking and heartbreaking. Whatever the reader's reaction, it's clearly a powerful and important work. The author is to be commended. ( )
  Laurenbdavis | Jan 22, 2012 |
Näyttää 1-5 (yhteensä 7) (seuraava | näytä kaikki)
In 1983, Ma Jian was living in Beijing as a photographer and painter in a circle of dissident friends - young men and women who snatched moments of sexual licence, exchanged precious copies of foreign books, and discussed each other's work in tiny gatherings that were reported by the neighbours and raided by the police. They were seen as socially deviant - and so dangerous - elements and therefore vulnerable to persecution in the now quaint-sounding Campaign against Spiritual Pollution. It sounds less quaint when the figures are tallied: more than a million arrests and 24,000 executed. Ma Jian embarked on his journey to evade arrest himself and on publication of Stick Out Your Tongue he was held up as an example of both "spiritual pollution" and "bourgeois liberalism". He has lived in exile ever since......It is hard to disagree with the official verdict that "Ma Jian fails to depict the great strides the Tibetan people have made in building a united, prosperous and civilised socialist Tibet". But then, that version of the Tibet fantasy demanded a greater effort of the imagination even than Ma Jian's. The difference between them is that at the heart of Ma Jian's stories, there is both humanity and a piercing, if painful, literary truth.
 
This is how Ma transports us to places and times we're unlikely to experience, and why these narratives are winning. He remains a seeker, despite concluding: "I know now that no path is solitary, we all tread across other people's beginnings and ends." Stick Out Your Tongue is part of a very notable body of work.
 

» Lisää muita tekijöitä (1 mahdollinen)

Tekijän nimiRooliTekijän tyyppiKoskeeko teosta?Tila
Ma Jianensisijainen tekijäkaikki painoksetlaskettu
Bijon, IsabelleKääntäjämuu tekijäeräät painoksetvahvistettu
Drew, FloraKääntäjämuu tekijäeräät painoksetvahvistettu
Gouvenain, Marc deEsipuhemuu tekijäeräät painoksetvahvistettu

Kuuluu näihin kustantajien sarjoihin

Babel (77)
Sinun täytyy kirjautua sisään voidaksesi muokata Yhteistä tietoa
Katso lisäohjeita Common Knowledge -sivuilta (englanniksi).
Teoksen kanoninen nimi
Tiedot italiankielisestä Yhteisestä tiedosta. Muokkaa kotoistaaksesi se omalle kielellesi.
Alkuteoksen nimi
Teoksen muut nimet
Alkuperäinen julkaisuvuosi
Henkilöt/hahmot
Tärkeät paikat
Tärkeät tapahtumat
Kirjaan liittyvät elokuvat
Epigrafi (motto tai mietelause kirjan alussa)
Omistuskirjoitus
Ensimmäiset sanat
Sitaatit
Viimeiset sanat
Erotteluhuomautus
Julkaisutoimittajat
Kirjan kehujat
Alkuteoksen kieli
Kanoninen DDC/MDS
Kanoninen LCC

Viittaukset tähän teokseen muissa lähteissä.

Englanninkielinen Wikipedia

-

A Chinese writer whose marriage has fallen apart travels to Tibet. As he wanders through the countryside, he witnesses the sky burial of a Tibetan woman who died during childbirth, shares a tent with a nomad who is walking to a sacred mountain to seek forgiveness for sleeping with his daughter, meets a silversmith who has hung the wind-dried corpse of his lover to the walls of his cave, and hears the story of a young female incarnate lama who died during a Buddhist initiation rite. In the thin air of the high plateau, the divide between fact and fiction becomes confused and the man is drawn deep into an alien culture he knew nothing about, and which haunts his dreams. Banned in China in 1987, Stick Out Your Tongue, is the hugely influential book that set Ma Jian on the road to exile.

Kirjastojen kuvailuja ei löytynyt.

Kirjan kuvailu
Yhteenveto haiku-muodossa

Current Discussions

-

Suosituimmat kansikuvat

Pikalinkit

Arvio (tähdet)

Keskiarvo: (3.86)
0.5
1
1.5
2 3
2.5
3 8
3.5 4
4 21
4.5 3
5 8

Oletko sinä tämä henkilö?

Tule LibraryThing-kirjailijaksi.

 

Lisätietoja | Ota yhteyttä | LibraryThing.com | Yksityisyyden suoja / Käyttöehdot | Apua/FAQ | Blogi | Kauppa | APIs | TinyCat | Perintökirjastot | Varhaiset kirja-arvostelijat | Yleistieto | 204,398,890 kirjaa! | Yläpalkki: Aina näkyvissä