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Ladataan... L'or : la merveilleuse histoire du général Johann August Suter (alkuperäinen julkaisuvuosi 1924; vuoden 2001 painos)Tekijä: Blaise Cendrars
TeostiedotKulta : kenraali Johann August Suterin ihmeellinen tarina (tekijä: Blaise Cendrars) (1924)
![]() Ei tämänhetkisiä Keskustelu-viestiketjuja tästä kirjasta. Esta novela es, a la vez que un vivo retrato de los Estados Unidos en formación, de la América de los pioneros -tierra virgen y apenas civilizada, plena de oportunidades para hombres audaces y con iniciativa-, el relato de una historia verídica que, en efecto, sólo pudo darse en ese tiempo y lugar concretos. Centrada en la existencia de Johann August Suter, emigrante suizo al Nuevo Mundo, El Oro narra la pintoresca peripecia del hombre sobre cuyas tierras se precipitó la avalancha desatada en California a partir de 1848 por la primera "fiebre del oro" y que paradójicamente lo llevó a él a la ruina. Gift from Tim Dempsey > Babelio : https://www.babelio.com/livres/Cendrars-Lor-La-merveilleuse-histoire-du-general-... > « Ça aussi, c’est un classique », laisse tomber François Turcot, libraire chez Gallimard, en passant devant une rangée de livres de Blaise Cendrars (1887-1961). Cet écrivain d’origine suisse, qui, à 17 ans, déjà explorait la Russie, a voyagé dans toutes les parties du monde. Il a tiré de ses odyssées des oeuvres exprimant l’exaltation d’une « vie dangereuse », notamment Bourlinguer (Folio), le reportage romancé Rhum (Biblio) ainsi que L’or (Folio), qui retrace l’épopée du général milliardaire milliardaire Suter, qui a conquis la Californie pour le compte des États- Unis au milieu du XIXe siècle. (Julie PARENT) --La presse, 31 déc. 2005 Biographie spectaculaire et histoire merveilleuse. Raconté avec le juste mélange entre fait et fiction sans qu'on en voie la frontière. Il est des fois où l’on fait des mauvais choix. J’ai acheté ce livre il y a longtemps, un peu par hasard, livre d’occasion sur les étagères d’une grande enseigne parisienne. J’ai entendu l’année dernière un portrait de l’auteur dans une émission de radio aujourd’hui disparue (« Partir avec… » de Stéphanie Duncan). Le personnage ne m’a pas paru bien sympathique mais je me suis souvenue de ce livre qui dormait sur mes étagères. Alors, voulant lire un livre court et plein d’aventures, je me suis dit qu’il était temps de l’exhumer. Bien mal m’en a pris… J’ai mis trois semaines à en venir à bout, préférant le délaisser entre-temps pour Kessel et Giono et quelques livres pour enfants, et je me suis forcée à le finir, me disant que peut-être finirais-je par comprendre. Enfin, fini, refermé. Quel style aride, fait de phrases courtes, sèches, plates. On ne peut même pas parler de style journalistique. Un style que d’aucuns aiment, mais décidemment pas moi, j’ai eu l’impression de lire quelqu’un qui ne savait pas s’exprimer. L’idée de départ est intéressante, il s’agit de la biographie romancée d’un personnage dont j’ignorais l’existence, Johann August Sutter, commerçant, colon, aventurier, un des premiers à s’établir dans les environs de ce qui deviendra San Francisco, alors que la Californie était encore mexicaine et avant la ruée vers l’or au milieu du XIXème siècle. Mais je ne peux comprendre quel est l’intérêt de cette biographie romancée. D’abord Cendrars n’exploite pas ce qui semble être la raison pour laquelle ce personnage l’a intéressé, à savoir cet apparent oxymore qui devient la devise de Sutter, « la découverte de l’or m’a ruiné ». D’autre part, Cendrars semble avoir négligé certaines des contradictions du personnage, comme le rôle d’un de ses fils dans l’urbanisation des terres de son père. Je ne comprends donc pas le propos de Cendrars ; il me semble qu’il fallait soit simplifier le personnage pour en faire la parabole de son oxymore, soit en garder la complexité et en explorer les ramifications. En définitive, je suis restée imperméable au style comme au propos de l’auteur, et je suis passée complètement à côté de ce qui est considéré comme un classique du début du XXème siècle. Je laisse à d’autres le soin de décrypter les tenants et les aboutissants de cette œuvre, c’est hors de mes affinités littéraires.
Blaise Cendrars has since written the history of General Johann August Sutter, L’Or, a narrative that traces the swiftest leanest parabola of anything I’ve ever read, a narrative that cuts like a knife through the washy rubbish of most French writing of the present time, with its lemon-colored gloves and its rosewater and its holy water and its policier-gentleman cosmopolitan affectation. It’s probably because he really is, what the Quai d’Orsay school pretend to be, an international vagabond, that Cendrars has managed to capture the grandiose rhythms of America of seventy-five years ago, the myths of which our generation is just beginning to create. (As if anyone ever really was anything; he’s a good writer, leave it at that.) In L’Or he’s packed the tragic and turbulent absurdity of ’49 into a skyrocket. It’s over so soon you have to read it again for fear you have missed something. Sutter’s Gold is the easiest of Cendrars’s novels to assimilate. It deals in a compressed, minimalist prose with the epic downfall of his countryman August Sutter, the man who made the mistake of discovering gold on his property. The message of the book is as old as language itself: what shall it profit a man, if he gain the whole world … ? The tempo and simplicity of the work gained it a wide audience in many languages. Kuuluu näihin kustantajien sarjoihinLe livre de poche (0293) Sisältyy tähän:
In January 1848, John Augustus Sutter, "the first American millionaire," was ruined by one blow of a pickaxe. That blow revealed gold in one of the streams in Sutter's Californian estate, triggering the Gold Rush that brought hordes of greedy miners from every corner of the world to Sutter's vast domain. This is the story of this bankrupt Swiss paper maker who abandoned his family and made his way to America to seek his fortune. From New York he pushed westward, eventually acquiring a huge tract of land of which he was virtually an independent ruler and which was on the point of making him "the richest man in the world" when the Gold Rush brought disaster. For the last 30 years of his life, Sutter tried vainly to get compensation from the U.S. government. He died in 1880, a broken old man. This is a work of breathless pace, fantastic humor, and soaring invention: an extraordinary story extraordinarily told. Kirjastojen kuvailuja ei löytynyt. |
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