Pikkukuvaa napsauttamalla pääset Google Booksiin.
Ladataan... All the Roads Are Open (2000)Tekijä: Annemarie Schwarzenbach
- Ladataan...
Kirjaudu LibraryThingiin nähdäksesi, pidätkö tästä kirjasta vai et. Ei tämänhetkisiä Keskustelu-viestiketjuja tästä kirjasta. If you are looking for a conventional narrative on this unconventional automobile trip in 1939 from Switzerland to Afghanistan, you will be very frustrated by this book. The style is best described as lyrical, almost poetic, with long meandering sentences describing images, recollections and feelings. At times, you are not even sure where you are on the journey. A map would have helped a great deal. I kept reading because the trip itself was amazing, at least from the parts I was able to extricate from the writing. Her companion, Ella Maillart, also wrote about the journey. I plan to read that one next, and maybe I will get a more complete sense of what was most likely one of the great automobile adventures of all time. ( ) > Babelio : https://www.babelio.com/livres/Schwarzenbach-Ou-est-la-terre-des-promesses-/4825... > BAnQ (La presse, 4 août 2002) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2195047 I confess, my enjoyment of this has much more to do with Schwarzenbach's life than it does the actual text, which is less expressionistic than the (slightly absurd) 'Death in Persia,' but also not noteworthy in itself. If the author had been a dull school-master, there'd be no reason to read it. The author was not a dull school-master, and it's published by Seagull with all that publisher's usual finery and attention to detail, so I imagine I'll pick it up again at some point. Je ne sais plus trop où j’ai entendu parler récemment d’Annemarie Schwarzenbach et que j’ai réalisé qu’elle avait écrit plusieurs livres qui pouvaient être intéressants à lire. Mon dévolu s’est porté sur celui-là, car c’est un périple célèbre que celui qu’elle a fait avec Ella Maillard pour rejoindre l’Afghanistan depuis la Suisse, à l’orée de la Seconde Guerre mondiale. Il ne s'agit pas tout à fait d'un récit de voyage, mais plutôt d'une succession de courts chapitres conçus comme autant d'articles de journaux. Je ne sais pas si certains de ces articles ont effectivement été publiés, mais leur contenu est surprenant. On suit bien Annemarie Schwarzenbach au cours de son périple, même si le récit ne semble pas exhaustif et ne semble pas non plus couvrir les faits les plus marquants de ce voyage. Ce récit sur des routes peu carrossables et rarement carrossées d'Europe et d'Asie, ce récit plein de poussière et d'immensité est avant tout le prétexte à l'introspection et à l'expression du mal-être de cette femme qui cherche sa place dans le monde et une raison de vivre suffisamment puissante pour lui donner envie de continuer. Car Annemarie Schwarzenbach est une femme tourmentée. Incapable d'être heureuse si le monde n'est pas à l'image du bonheur qu'elle voudrait pour tous, refusant le moyen, le simple, l'habituel, elle s'épuise à chercher le toujours plus. Cela l'a conduite sur les chemins de la drogue, et il est de notoriété publique que ce fameux voyage avec Ella Maillard est une énième tentative pour refaire surface. Il est aussi de notoriété publique que ce voyage sera, de ce point de vue, un échec, mais Annemarie Schwarzenbach aura essayé. Essayé de se sauver par la fuite, c'est un peu ce que j'ai ressenti en lisant ce récit de voyage qui n'en est pas un. Les paysages peuvent être magnifiques, apaisants, sereins, Annemarie Schwarzenbach est systématiquement rattrapée par ses idées noires. Le fait de ne pas être à la hauteur des exigences qu'elle a pour elle-même, le fait de nourrir inlassablement des idées sombres, d'être hantée par la tentation du pire puisqu'elle ne peut être le meilleur. C'est un livre qui, malgré les beautés décrites, qu'elles soient naturelles ou faites de la main de l'homme, demeure recouvert d'un voile de profonde tristesse. Ce livre n'est donc pas du tout le récit de voyage auquel je m'attendais. C'est une réflexion intérieure qui accompagne un mal-être dont l'aventure, qui aurait pu se révéler picaresque, de ces deux femmes en automobile, n'a pas su venir à bout. Mais ce mal-être, qui n'est jamais décrit frontalement, Annemarie Schwarzenbach demeure très secrète dans cette sorte d'impudicité qui consiste à écrire un livre sur soi-même, m'a parfois semblé familier, j'ai cru parfois me reconnaître dans certains des affres de cette femme, et j'ai été très touchée par son texte. Tellement touchée que je me dis que je vais continuer à essayer de découvrir ses écrits. Tenter de mieux comprendre la complexité de ce personnage, en lisant d'autres de ses ouvrages, car maintenant que j'ai fait sa connaissance littéraire, je me sens prête à explorer des livres dans lesquelles elle ne sera pas l'ombre d'une autre exploratrice, comme ici elle semble rester dans l'ombre finalement un peu écrasante d'Ella Maillard. Une belle rencontre, même si elle est empreinte de beaucoup de souffrance rentrée. Being an account of an unlikely motor trip from Switzerland to Afghanistan in the fall of 1939 by two women who were frequently told that they would never complete it. These pieces were, according to the front and end matter, meant for newspapers and, eventually, a book, though the book was never published (though her travelling companion did publish), owing to war, the author's early death, and, especially, the unconventional nature of the material. For this is barely a recognizable travel book; its appeal is in the author's prose poems, which are beautiful excursions into fine writing, but certainly not what one would expect from a travel book. The book's downside is its presentation; without a map, one rarely has any idea where one has been or is going. A chronology would have helped untangle the many side trips and backtracks. A glossary would have helped lighten the load of the author's fondness for tossing about foreign words (they might at least have been italicized). The author's understated descriptions seem almost to want to downplay or even ignore what must have been an arduous journey; drama, surely available, would have added interest and context to her rather idyllic Central Asia. ei arvosteluja | lisää arvostelu
In June 1939 Annemarie Schwarzenbach and fellow writer Ella Maillart set out from Geneva in a Ford, heading for Afghanistan. The first women to travel Afghanistan's Northern Road, they fled the storm brewing in Europe to seek a place untouched by what they considered to be Western neuroses. The Afghan journey documented in All the Roads Are Open is one of the most important episodes of Schwarzenbach's turbulent life. Her incisive, lyrical essays offer a unique glimpse of an Afghanistan already touched by the "fateful laws known as progress," a remote yet "sensitive nerve centre of world politics" caught amid great powers in upheaval. In her writings, Schwarzenbach conjures up the desolate beauty of landscapes both internal and external, reflecting on the longings and loneliness of travel as well as its grace. Maillart's account of their trip, The Cruel Way, stands as a classic of travel literature, and, now available for the first time in English, Schwarzenbach's memoir rounds out the story of the adventure. Praise for the German Edition "Above all, [Schwarzenbach's] discovery of the Orient was a personal one. But the author never loses sight of the historical and social context. . . . She shows no trace of colonialist arrogance. In fact, the pieces also reflect the experience of crisis, the loss of confidence which, in that decade, seized the long-arrogant culture of the West."--Süddeutsche Zeitung Kirjastojen kuvailuja ei löytynyt. |
Current Discussions-Suosituimmat kansikuvat
Google Books — Ladataan... LajityypitMelvil Decimal System (DDC)915.810443History and Geography Geography and Travel Geography of and travel in Asia Central Asia Afghanistan Travel 1919- 1933-1973Kongressin kirjaston luokitusArvio (tähdet)Keskiarvo:
Oletko sinä tämä henkilö? |