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Der Mann auf dem Hochrad. (1984)

Tekijä: Uwe Timm

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344712,253 (3.68)6
Tragikomische Geschichte eines Tierpräparators, der um 1890 in Coburg das Hochrad einführte.
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Somewhere in the mid-1880s, Franz Schröter becomes the object of public ridicule when he's the first person to be seen on a bicycle in the small and very conservative Residenz-town of Coburg, which is on the border of Thüringen and Franken, seat of the Dukes of Saxe-Coburg-Gotha. He's a determined individualist - in his business as a taxidermist he's adopted the new English style of mounting stuffed animals in "lifelike" poses in dioramas, which puts off many potential clients until a couple of high-profile assignments carried out for the Duke and Duchess start a change in the fashion.

Cycling, for Schröter, is a pure pleasure, tied up with the particular difficulties and dangers of riding a high-wheeler (penny-farthing). But it soon gets tied up with all sorts of messy political and cultural issues: middle-class Coburgers want to be stylish early adapters of an expensive new technology, the socialists see the bicycle's potential as cheap transport for the working-man, women (led by Franz's wife Anna) see it as an escape from the limitations society imposes on them, not least the obligation to wear corsets and long skirts. And the local shoemakers' guild sees the bicycle as an economic threat to be fought against. Franz doesn't want to be in any of these fights, but he can't avoid them. And it gets worse when the new "safety" bicycle pops up a couple of years after Franz has nailed his colours to the high-wheeler's handlebars - it's obviously better for most practical purposes, but it lacks the danger and aesthetic satisfaction of "proper" cycling...

Timm is a very good storyteller, and he cunningly turns this fairly trivial plot into a very interesting - and funny - insight into the way small communities react to change. There are of course much more important changes going on in Germany between 1871 and 1918, and we see these in the background, but it's the evolution of Franz's and Anna's relationship with their neighbours that help us to see how these are working out. ( )
  thorold | Dec 7, 2018 |
Comme d’habitude, j’ai pris cette nouvelle allemande de la rentrée littéraire à la bibliothèque de l’Institut Goethe à Paris. Cela a du bon quand même d’aller dans une bibliothèque où personne ne prend les livres en français qui sont disponibles … Cela faisait que je voulais lire Uwe Timm. J’ai À l’exemple de mon frère dans ma PAL, mais aussi Die Entdeckung der Currywurst (en roman et en BD, tous les deux en allemand, qui étaient trop compliqués pour moi il y a un an mais je vais réessayer bientôt je pense). Donc par pur manque de logique et voulant découvrir Uwe Timm, j’ai pris cet ouvrage, tout nouvellement paru, pour satisfaire ma curiosité.

Le narrateur raconte tout au long de ce livre la vie de son grand-oncle Franz (qu’il appelle oncle), l’hurluberlu de la famille puisqu’il est connu pour avoir eu l’idée fixe de propager la pratique du grand-bi dans sa ville de Cobourg (en Bavière), dans les années 1880 (je pense). Franz Schroeder est naturaliste de profession (on voit d’ailleurs sa boutique sur la couverture, juste en face de celle du boucher). Alors qu’il y a déjà trois naturalistes dans la ville, il s’installe tout de même en ville, avec sa femme Anna. Il se distingue par des compositions très réalistes (alors que celles de ses concurrents ressemblent plutôt à des saucissons), qui sont admirées certes (dans la vitrine) mais qui font surtout très peur. Il a donc très peu de commandes au début du livre et de son activité. Formé quelques temps en Angleterre (d’où sa pratique particulière), il a pu découvrir ce drôle de vélo, le grand-bi, qui y fait un tabac. Il décide d’en commander un en Angleterre pour le faire découvrir à la population de la petite ville allemande. Il espère que cela lui permettra de développer son activité mais donnera aussi l’envie à ces concitoyens de s’initier à cet art, bon physiquement mais aussi moralement.

Une fois, son vélo arrivé, en pièces détachées, il le monte et commence à apprendre à en faire. Cela occasionne bien évidemment de nombreuses chutes, qui se font sous les quolibets de la population, qui se changent en horreur quand Franz perd deux phalanges du petit doigt dans la bataille. Malgré tout, Franz décide de se lancer comme unique représentant de la marque anglaise et de commercialiser ces vélos de la mort. Au fur et à mesure que sa pratique s’améliore, Franz vend de plus en plus de grand-bi et devient le professeur de la ville. La seule personne à qui il ne veut pas apprendre à en faire, c’est sa femme Anna.

J’ai adoré le personnage de cette femme, à la fois d’époque dans ses habits, ses croyances et ses manières, mais éminemment moderne dans la manière qu’elle a de parler à son mari. C’est elle qui apporte tout l’humour du livre. Alors que son mari est extrêmement rêveur, aventurier et buté, elle arrive à le faire changer d’avis par un mot, en renversant la situation par son bon sens tout simplement. Elle est toujours là pour soigner les bleus du corps et les coups à l’âme, sans dire je te l’avais bien dit mais en le sous-entendant fortement. Au couple s’ajoute des personnages hautement pittoresques. Du Duc à l’ouvrier d’usine’en passant par le boucher, imitateur de cris d’oiseaux, tout le monde est là. Uwe Timm décrit une société fermée et provinciale, de l’ancienne époque, qui commence à être confronté aux progrès techniques et aux changements.

Le grand-bi est le vecteur de ce changement dans la ville de Cobourg. On y voit une société tiraillée entre ses traditions (doit-on autoriser la femme et l’ouvrier à faire du vélo) et la curiosité de découvrir ce nouveau mode de locomotion. J’ai d’ailleurs beaucoup aimé la réflexion sur la rapidité des déplacements. Avant l’introduction du vélo, les gens « normaux » se déplaçaient pour la plupart à pied pour les trajets quotidiens (je sais bien qu’il y avait le train et les chevaux sinon). Cette lenteur est aujourd’hui concurrencé par le vélo. C’est donc du temps gagné pour les loisirs. Mais à quoi va-t-on occuper ces loisirs ? Est-ce qu’il n’y a pas risque de dépravation ? Surtout pour un ouvrier qui a quatre heures par jour de trajet en plus de son travail quotidien, est-ce que cela ne va pas trop l’émanciper ? (ahlalala, je t’en donnerai du bourgeois moi, ils n’avaient qu’à le faire aussi si c’était si facile). On voit toute une catégorie de personnes cherchant à garder ce qui fait qu’ils se sentent supérieurs. Je n’avais jamais réfléchi sur le fait que le vélo et plus généralement le changement de rythme pour les déplacement ait été cause d’autant de questionnements et de bouleversements. J’ai trouvé cela très intéressant. Bien sûr, le grand-bi restait très cher et d’ailleurs l’arrivée du bicycle bas démocratisera quelque peu la pratique du vélo aux femmes et aux ouvriers, même à Cobourg.

C’est sur cet événement que se termine l’histoire d’Uwe Timm (je ne dévoile rien parce que je suppose que vous le saviez depuis longtemps). En refermant le livre, on se prend à être nostalgique de cet oncle Franz et cette tante Anna. À travers une chronique familiale très réussie avec des personnages haut en couleur, l’auteur réussit à faire revivre une époque révolue et ce de manière passionnante et très drôle, même pour les personnes qui ne sont pas intéressées par le vélo. ( )
  CecileB | Oct 30, 2016 |
Ende des 19. Jahrhunderts kaufte in Coburg der Tierpräparator Franz Schröter ein unglaubliches technisches Gerät, nämlich ein Hochrad. Bis anhin funktionierte der Verkehr zu Fuss oder zu Pferd, nun fuhr ein Mann mit einer solchen Maschine durch die Strassen.
Das Hochrad hatte aber auch seine Tücken. Sass man doch beinahe senkrecht über der Nabe des grossen Vorderrads, wurde ein einfaches Bremsmanöver zu einem Drahtseilakt. Entsprechende Unfälle waren deshalb an der Tagesordnung.
So kam bald eine neue Art dieses Gefährts in Mode, das Niedrigrad. Dieses wurde damals aus nachvollziehbarem Grund auch Safety genannt. Und da entwickelte sich der Pionier Franz Schröter zu einem Verfechter des Alten. Er, der der erste auf einem Hochrad war, war nun auch der letzte, der auf diesem blieb.
Das Buch zeigt ein schönes Sittenbild der vorletzten Jahrhundertwende. Der Kampf der Bevölkerung gegen den Fortschritt in Form eines Fahrrads mutet aus heutiger Sicht lustig an, die Argumente der Gegner erscheinen heute als hanebüchen.
Die beiden speziellen Seiten von Franz Schröter werden liebevoll geschildert.
Auf der einen Seite war er ein Fahrradpionier, der für die Einführung des Hochrads genau so verbissen kämpfte wie gegen seine Ablösung durch das Niedrigrad.
Auf der anderen Seite arbeitete er als Tierpräparator und stopfte so unter anderem einen herzoglichen Hund und einen Menschenaffen aus.
Die Lektüre empfand ich als unterhaltsam mit einer gehörigen Portion Situationskomik. ( )
  Asfaloth | Oct 21, 2014 |
Uwe Timm schreibt hier über seinen Onkel Franz und seine Tante Anna. Einst versuchte der Onkel gegen viel Widerstand das Hochrad in der Kleinstadt Coburg durchzusetzen, scheiterte dann letztendlich aber nicht an den Altmodischen sondern am Aufstieg des Niederrads.
Die Geschichte ist charmant und Uwe Timm ein toller Schriftsteller. Dennoch war es für mich nicht das richtige Buch zur richtigen Zeit. Es konnte im Augenblick nicht zünden, obwohl mir klar ist, was den Reiz des Buches ausmacht.
Hochrad und Niederrad- wie betulich wirkt das heute. Dabei ist das alles noch nicht lange her. ( )
  Wassilissa | Jul 23, 2013 |
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