Michel Tournier, lindur në Paris më 1924. Është mbiquajtur "Kontrabandisti i Filozofisë" meqë u rrek të kalonte Platonin, Spinozën dhe Kantin në botën e historive dhe rrëfimeve. Ka jetuar në Vallèe de Chevreuse pranë Parisit. Për këtë roman është vlerësuar me Çmimin Grand Prix të Akademisë Franceze në 1967; Çmimin Goncourt (1970) për romanin "Mbreti i Verrishtave"; Anëtar i Akademisë Goncourt (1972) dhe Medalja Goethe (1993). Konsiderohet si një nga prozatorët më të mëdhenj me inspirim metafizik të gjysmës së dytë të shekullit XX.

Where J M Coetzee's Foe is a playful reworking of the Robinson Crusoe story informed by late-20th-century ideas about gender, colonialism, and how narratives are created, Tournier's version is — as you might expect — a philosophical exploration of where the solitary castaway stands in a post-Sartre world in which "hell is other people". Does the world have any existence outside our own perceptions if there are no other people to challenge those perceptions?

Tournier starts out with a fairly straightforward recap of Defoe's picture of the indefatigable British capitalist gritting his teeth to re-create all the elements of a productive economy — except sexuality — on his uninhabited island, then gradually subverts it, as Robinson becomes obsessed with the technology of production and creates vast excesses of agricultural products he has no use or market for. And of course his Robinson is not an asexual being like Defoe's, but finds himself experimenting with various kinds of sexual relationship with the island of Speranza herself. What could be more 1960s than X-certificate tree-hugging..?

Robinson's rescue of Friday from the human sacrifice he's been designated for is an accident — Robinson has already made the rational decision to side with the stronger party, but his bullet goes astray — but the entry of this new person into the island is the key moment in Robinson's philosophical release from his previous life. Friday starts out as the willing slave, but he has something Robinson lacks, being prepared to commit himself to projects without a utilitarian purpose — in particular, to create playful works of art. This ends up transforming the way both of them see the world. It liberates Friday to return to a new life as a full-fledged adult, and it brings Robinson into a meaningful spiritual communion with the island, free from his capitalist baggage. ( )

> Par Adrian (Laculturegenerale.com) : Les 150 classiques de la littérature française qu’il faut avoir lus !
07/05/2017 - Une apologie de la vie sauvage. Michel Tournier reprend le mythe de Robinson mais inverse ici les rapports classiques : le sauvage prend vite le dessus sur le civilisé.

Résumé :
Tous ceux qui m'ont connu, tous sans exception, me croient mort. Ma propre conviction que j'existe a contre elle l'unanimité. Quoi que je fasse, je n'empêcherai pas que, dans l'esprit de la totalité des hommes, il y a l'image du cadavre de Robinson. Cela suffit - non certes à me tuer - mais à me repousser aux confins de la vie, dans un lieu suspendu entre ciel et enfers, dans les limbes en somme... Plus près de la mort qu'aucun autre homme, je suis du même coup plus près des sources mêmes de la sexualité.

Ok, let me try and give a review of this novel in french. Hopefully I won't make too much of a mess :D


"Vendredi ou les limbes du Pacifique" est un roman de Michel Tournier (auteur des plusieurs romans que reprennent des figures mytologiques comme lequelles des gemeaux Caspar et Pollux dans "Les Météores" e les orques dans "Les Roi des Aulnes"): ce roman était publié en 1967 mais il est un roman complètement detaché dans le temps de l'Histoire. C'est une réécriture du "Robinson Crusoe" de Defoe (ou mieux, c'est une révision et une recostruction du mythe de Robinson.)
Ce roman ne respecte pas une doxa, un model traditionel imposé par le groups littéraires ; il n'est pas un roman d'introspection psychologique, il n'est pas un roman sociologique, il n'est pas engagée selon l'idée de roman engagée de Sartre. Mais il est un roman phylosophique, que va examiner la solitude d'un homme que se trouve seul dans une île, les liens entre les gens (Vendredi et Robinson) et la relation de Robinson avec soi même, l' île e le concept de Dieu.
- Les Tarots dessinent le futur de Robinson: le démiurge e le besoin d'organiser l'île pour se sentir humain, dans la solitude de l'île; l'ermite que descend dans le ventre de l'île e renaît un homme nouveau; Vénus e Vendredi, e la découverte d'une enfantine joie de vivre, sous la lumière d'un Soleil devenu Dieu; l'abandon de Vendredi e le renoncement de Robinson au retourner à la société: Robinson n'est plus un homme occidental, il est devenu un étranger pour la societé: 28 ans ont passé, il est un vieil homme. Il est presque déjà mort et aussi il a connu une sexualité différent et unique, que ne pourrais jamais être compris par autres gens. Robinson est de nouveau seul et seulement la mort semble être la solution de sa vie, mais il découvre que le jeune mousse de la navire que est de peu partie a décidé de rester près de lui. Robinson va baptiser le jeune garçon "Jeudi"

J'ai aimé bien ce roman... I loved this novel, hopefully I managed to write something meaningful about it, even though I did it in French, which I'm still studying and can't handle very well yet. :D ( )