Leo Hartong

I feel the book offered three separate looks at non-dual teachings. The first third was a good book for fairly new students of non-dualist thinking. I’d give it 4 stars. The second section seemed to be a Q&A, but withheld the Qs, and so wound up being disjointed. I’d give that section a 2. The last third, and especially the very end, was again very nice. Not so much for a beginner, perhaps, but we must remember, there is nothing prescriptive that progresses students toward self/realization. I’d give it a 3.5, also. Which accounts for the 3 star rating.… (lisätietoja)

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Hartong-Du-soi-au-soi/769346

> « Ce qui est communiqué ici est simple et immédiat. Il s’agit de qui - ou de ce que - vous êtes véritablement en cet instant même ». Notre être le plus intime n’est pas une personne, pas plus qu’une pensée ou un état. Nous sommes la paix antérieure aux divisions générées par l’esprit. Avec humour et précision, Léo Hartong entraîne le lecteur vers un lâcher-prise définitif, vers une liberté inconditionnelle.
—3e millénaire, (112), Eté 2014

> DU SOI AU SOI, de Leo hartong (2014, Accarias L’Originel, 156 p. - 17,50 €). — Le problème de la racine de tous les problèmes est le sentiment d’être une entité séparée et l’identification en tant que corps-mental. Avec l’éveil survient la reconnaissance qu’il n’est pas de personnage séparé à éveiller. Loin du développement personnel, ce dont il est question ici est voir à travers la personne, de la démasquer en tant qu’illusion, et non de lui fournir du grain à moudre. « Ce qui est communiqué ici, nous dit Léo Hartong, est simple et immédiat. Il s’agit de qui - ou de ce que - vous êtes véritablement en cet instant même. » Paradoxalement il s’agit aussi d’un mystère subtil. Nous pouvons donner à cette subtilité des noms tels que Pure Conscience, Essence, Tao, Dieu ou simplement Cela. Cela - Sujet Ultime - est l’Identité Vraie, notre Visage Originel, ce que nous Sommes, et non ce que nous pensons être.
Cet ouvrage, constitué de dialogue, est à lire à la suite de S’éveiller au rêve (paru chez le même éditeur). L’auteur répond aux questions qui touchent tous les chercheurs spirituels : « Je suis frustré de ne pouvoir faire, ne serait-ce qu’une fraction de seconde, l’expérience du Soi… Comment savoir si ce à quoi nous nous référons en tant que conscience n’est pas une simple fonction du cerveau ? … Ce sentiment de soi s’évanouit-il avec la “Réalisation” ou demeure-t-il en tant que “point d’ancrage” ?… Mon désir est de comprendre ce que c’est que de parvenir à l’illumination ?… » Les réponses de l’auteur s’inscrivent, sans concession, dans l’approche non-dualiste et invite chacun à l’aperception de soi.
—3e millénaire, (113), Automne 2014… (lisätietoja)

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Hartong-Seveiller-au-reve-Le-present-dune-vie-luc...

> S’ÉVEILLER AU RÊVE, par Leo Hartong - Editions Accarias/L’Originel, 2005. — Ce livre vaut mieux que son titre ambigu. Clair, incisif, concis, de pensée bien mûrie et de lecture agréable, il participe, avec ceux de Balsekar, Liquorman, Parsons et d'autres, d'un certain courant non dualiste actuel, assez vif surtout dans les pays anglo-saxons. Ce regain d'intérêt pour l'advaita me réjouirait tout à fait si je ne le sentais un peu trop bien adapté à cet étrange mélange d'avidité spirituelle et de paresse intellectuelle qui caractérise notre époque : d'où l'exaltation croissante d'un type d'Eveil " sauvage " faisant l'économie de l'étude, de l'apprentissage auprès d'un maître et d'une ascèse corporelle et psychique. Pourtant les auteurs plus haut cités (et je songe aussi, en amont, au génial Alan Watts ou au subtilissime Irlandais qui signait Wei Wu Wei) semblent avoir fait l'effort, quant à eux, d'assimiler les Ecritures traditionnelles avant d'en transmettre la quintessence à leurs élèves ou lecteurs. Mais ceux-ci, enfants de la fébrilité, les croient sur parole (ce que ne doit jamais faire un véritable disciple), sans prendre la peine de remonter eux-mêmes aux sources. De là à se croire soi-même non-dualiste parce qu'on se gave de littérature non-dualiste, il n'y a que quelques pas… Le terme " Eveil ", employé d'ailleurs depuis très longtemps dans les milieux protestants, mais avec une signification toute différente, produit un effet quasi contagieux, la mode multiplie illusoirement le phénomène, le mot paraît créer la chose et l'on peut craindre que, d'ici peu, il ne se vide tout à fait de son sens, en tout cas du sens qu'il avait dans le chan, le zen ou l'advaita-Vedânta, se réduisant à connoter une espèce de confusionnisme béat. En ce qui concerne le Vedânta (tradition qui devrait nous être chère entre toutes), il ne faudrait pas qu'il lui arrive la mésaventure qui est arrivée au Tantra : qu'à force de l'" adapter ", de le débrahmaniser, de le remaquiller, de lui donner une tournure " cool " et " sympa ", de proposer de séduisants " raccourcis " pour l'intégrer, d'insister sur son universalité en dédaignant son enracinement hindou, on finisse par le dénaturer complètement, confondant non-dualité et absence pure et simple de repères, comme en provoquent par exemple certaines expériences de drogues. A cela s'ajoute une inquiétude : même en faisant la part des jalousies, des médisances et des ragots, il semble que quelques-uns de ces " néo-non-dualistes " laissent un peu à désirer sur le plan éthique. Or, s'il est certain que les critères de la morale courante ne s'appliquent pas au domaine de l'Eveil, s'il est évident aussi qu'on ne peut reconnaître un Eveillé à moins de l'être soi-même, ceux qui sont à la recherche d'un maître doivent néanmoins savoir que la Conscience non duelle est et sera toujours incompatible avec le goût et l'abus du pouvoir, quel qu'il soit. A eux donc - au lieu de plaider éternellement non-coupables et innocence abusée - à eux de savoir faire preuve de discernement sans se laisser entortiller dans de beaux discours non dualistes que démentent de très possessifs comportements. Quand les vrais maîtres se font rares, on a besoin de vrais disciples. Ou, exprimé autrement, ce sont les faux disciples qui créent les faux gourous. (Pierre FEUGA)
—Infos Yoga, (52), Avril/Mai 2005, (p. 41)

> Dans un style agréable, non dénué d'humour, Leo Hartong nous amène à une profonde réflexion sur la non-dualité. La philosophie non-dualiste y est expliquée sans que ce soit pour autant un livre de vulgarisation.
Indispensable pour les occidentaux qui s'intéressent à la spiritualité.
—Danieljean (Babelio)

> La Vie n 'est pas si cruelle
au point de laisser tous tes rêves
s'accomplir. —MOOJI*
*In: Mooji, Le souffle de l'absolu, Almora (2015)5)

> S'ÉVEILLER AU RÊVE, Le présent d'une vie lucide, de Léo Hartong. — L’éveil au rêve dont parle Léo Hartong est la prise de conscience du rêve diurne dans lequel la vie conditionnée se déroule. Tout vient et se produit, tout apparaît et disparaît : sensations, sentiments, pensées. Une identité est projetée sur ces manifestations spontanées de la Conscience : un "je" s’attribue lesdites manifestations : "je sens ceci ou cela", "je ressens telle ou telle émotion", "je pense que…". Et voici le problème de l’ego, entité illusoire se nourrissant de la confusion psychique, qui émerge devant le chercheur. L’auteur, dans cet ouvrage écrit avec simplicité et clarté, analyse très judicieusement le paradoxe du chercheur qui se considère être l’auteur de ses actions : travailler à l’élimination de l’ego correspond en fait à le renforcer. « Lutter avec la nature paradoxale de l’ego ne conduit pas en soi au discernement ; mais cela peut ouvrir la voie à un abandon spontané pour cause d’épuisement. » Un chercheur, identifié à ce personnage de chercheur, travaille sur lui-même dans la dualité : « je vais faire un gros effort pour parvenir au non-effort, je vais essayer d’être plus spontané etc. » S’éveiller au rêve est prendre conscience de ce processus qui consiste à tourner en rond dans son rêve d’éveil. Ed. Les Deux Océans, 2005. 158 p.
—3e millénaire, (75), Printemps 2005

> Un texte de haut niveau, clair et bien mené sur la non-dualité, les idées fausses à propos de l’ego, la véritable nature des choses. Pour éclairer ceux qui s’interrogent sur eux-mêmes.
—Psychologies

> Jouant avec son lecteur, l’interpellant, le déstabilisant tour à tour, L. Hartong va tenter de lui faire saisir qu’il est ce chercheur courant 'partout en quête de lumière, une lanterne allumée à la main.
—Terre du ciel

> Un texte clair et, bonne surprise, non dénoué d’humour.
—Horoscope

> Un livre clair, incisif, concis, de pensée bien mûrie et de lecture agréable.
—Infos Yoga

> Léo Hartong écrit avec simplicité et clarté, il analyse très judicieusement le paradoxe du chercheur.
—3e millénaire

> Une lecture à la fois érudite et personnelle de la non-dualité.
—Nouvelles Clés… (lisätietoja)