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Flight of the Eagle

Tekijä: J. Krishnamurti

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1703159,329 (4.06)2
Regarded as one of the great spiritual teachers of the twentieth century, Krishnamurti delivered his insights with simplicity. Here, in records of talks and dialogues in London, Paris, Amsterdam and Saanen, Switzerland, he speaks on freedom, fragmentation, radical change and more.
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> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Krishnamurti-Le-vol-de-laigle/192169

> RÉSUMÉ. — La voie suivie par Krishnamurti reflète ses convictions : il souhaite avant tout permettre à l'individu de trouver la liberté inconditionnelle, symbolisée par le vol de l'aigle. À ses yeux, l'essentiel est de défaire les hommes de toutes les craintes ou contraintes qui les éloignent de la liberté. Au cours de conférences tenues à Londres, Amsterdam, Paris et Saanen, en Suisse, de mars à août 1969, Krishnamurti livre les fondements de son enseignement. Le Vol de l'aigle, qui restitue sa parole, aborde des thèmes tels que la liberté, la recherche de la paix ou la peur. Le message de tolérance qui en émane a conservé toute sa pertinence aujourd'hui.
*Source: https://www.centredeconnaissance.org/

> LE VOL DE L’AIGLE, de Krishnamurti. — Réédition d’un recueil de 12 conférences données en Europe en 1969 et traduites en français en 1971, ce livre offre avec toute sa fraîcheur la verve lucide de J. Krishnamurti. La question qui en est l’axe « l’homme peut-il changer ? » est porteuse de radicales et d’immenses perspectives : « Le problème est donc de savoir si l’esprit, le cerveau et le coeur sont capables de vivre comme pour la première fois, dans la fraîcheur et l’innocence, sans avoir subi de contamination, sachant ce que cela signifie que de vivre heureux, dans l’extase et dans un profond amour » (p. 78). Cette vie nouvelle, cette véritable tranquillité totalement innocente, reste impossible sans une compréhension profonde de l’observation de soi. Et pour cela il nous faut « découvrir ce que c’est qu’observer » (p. 187). C’est-à-dire « découvrir s’il est possible de voir, et cela non avec une seule partie de notre être, visuelle, intellectuelle ou émotionnelle. Est-il possible d’observer de très près sans qu’il y ait aucune déformation ? […] Qu’est-ce que voir ? » (p. 186). L’insistance pour K. de nous questionner dans cette approche de « l’art de voir » est d’autant plus urgente aujourd’hui, où un trop grand nombre de chercheurs et de “découvreurs” adhèrent aux concepts d’un langage non-dualiste sans changement intérieur véritable. Il n’est pas si évident de voir que nous vivons à travers des états conflictuels, et que nous regardons à travers des images ou des concepts. L’un des critères de base, selon K. consisterait à nous rendre compte que lorsque nous nous observons, « l’observateur [c-à-d. nous qui nous regardons pour nous connaître] se figure être autre chose que la chose observée… » (p. 103). Nous pourrions alors commencer à comprendre que « l’observateur est toujours en train de lutter, il est dans un état de conflit. » Il ne fait aucun doute que la tâche soit ardue, et surtout subtile, car la façon dualiste de nous observer « est devenue pour nous une habitude, une tradition, un conditionnement. « Et c’est une des choses les plus difficile au monde que de briser une habitude, parce que nous nous complaisons à vivre dans nos routines… » (p. 103). Et pourtant, avec un minimum d’honnêteté : K. déclare qu’« il est facile de voir que c’est une réaction de la mémoire, de l’expérience, du savoir ; du cerveau, siège de la mémoire » (p. 107). Nous arrivons là à ce que nous appellerions un “seuil" qui, pour K., est la découverte que « l’observateur est la chose observée » (p. 103). Plus exactement, en prenant l’exemple de l’observation de la peur : K. fait remarquer que : « quand la pensée se rend compte qu’elle ne peut absolument rien sur la peur parce que c’est elle qui l’a créé, alors il y a silence ; il y a la négation complète de tout mouvement qui puisse engendrer la peur » (p. 107). Dans L’enseignement de Krishnamurti, cette “vision pénétrante” est l’action juste, complète et libératrice ; c’est lorsque nous regardons « avec cette énergie si totale et complète que la vision ne fait qu’un avec l’action, mettant ainsi fin au problème ? » (p. 224).
"Le vol de l’aigle” se lit en miroir de ce que nous sommes. Ed. Presses du Châtelet, 2009 - 235 p.
3e millénaire, (95), Printemps 2010

> Un beau livre ou nous sommes invité à faire l'expérimentation de la liberté réelle. Un beau dialogue ou le lecteur a une place.
Danieljean (Babelio)

> 1969 - LE VOL DE L'AIGLE… ; (Extraits… en PDF, ePub),
URL : https://drive.google.com/drive/folders/16kbYVyNYDHHTJlZrIrr-C94wINTOVX96?usp=sha...
La question, par conséquent, n'est pas de savoir si nous devons penser ou non, mais comment rester éveillé. Pour rester éveillé il nous faut avoir cette profonde compréhension de la pensée, de la peur, de l'amour, de la haine, de la solitude ; il nous faut être totalement engagés dans cette façon de vivre tels que nous sommes, mais il faut comprendre d'une façon complète. On ne peut la comprendre profondément que quand l'esprit est totalement éveillé, sans aucune déformation (Chapitre V, p. 113).
In: Krishnamurti, de l'introspection à l'observation, pp. 22 - 23
3e millénaire n°58 (Hiver 2000), pp. 26 - 32.

> LE VOL DE L’AIGLE, par Jiddu Krishnamurti. — "Le vol de l'aigle" est un livre écrit par le philosophe et écrivain indien Jiddu Krishnamurti. Publié en 1971, il est basé sur une série de conférences données par Krishnamurti en 1969 en Californie.
Le livre explore des thèmes tels que la connaissance de soi, l'identification avec les croyances et les dogmes, la liberté de la pensée, la perception de la réalité et l'approche de la vie sans peur ni préjugés. Krishnamurti encourage les lecteurs à remettre en question leurs propres modes de pensée et à explorer leur propre conscience pour atteindre une connaissance plus profonde de soi et du monde qui les entoure.
Le titre du livre, "Le vol de l'aigle", renvoie à une expérience que Krishnamurti décrit lors d'une de ses conférences, où il a observé un aigle s'élevant dans les airs sans effort. Cette métaphore est utilisée pour illustrer l'idée que la véritable liberté et la connaissance de soi peuvent être atteintes lorsque l'esprit est libéré des liens des dogmes, des croyances et des préjugés.
En somme, "Le vol de l'aigle" est un livre profondément spirituel et philosophique qui invite les lecteurs à explorer leur propre conscience et à se libérer des limitations que nous nous imposons souvent à nous-mêmes.
BooksAI ( )
  Joop-le-philosophe | Mar 30, 2019 |
EL VUELO DEL AGUILA

Fragmento:

PRIMERA PARTE
1. LA LIBERTAD -
Pensamiento, placer y dolor

Para la mayoría de nosotros la libertad es una idea, no una realidad. Cuando hablamos de libertad, lo que queremos es ser libres en lo externo, hacer lo que nos plazca, viajar, estar libres para expresarnos de diferentes maneras y para pensar lo que gustemos.

La expresión externa de la libertad parece ser de extraordinaria importancia, especialmente en los países donde hay tiranía y dictadura. Y en aquellos países donde es posible la libertad externa, uno busca más y más placer, más y más posesiones.

Si es que vamos a inquirir profundamente en lo que la libertad implica: ser total y completamente libres en lo interno lo cual se expresa luego exteriormente en la relación con la sociedad- entonces me parece que debemos preguntarnos si la mente humana, que está tan excesivamente condicionada, puede alguna vez ser del todo libre. ¿Tiene la mente que vivir y funcionar siempre dentro de las fronteras de su propio condicionamiento, de manera que no haya posibilidad alguna de libertad para ella? Vemos cómo la mente, al comprender de manera verbal que no existe libertad alguna sobre esta tierra, ni interna ni exteriormente, comienza entonces a inventar la libertad en otro mundo, una liberación futura, un cielo, etcétera.

Descartemos todos los conceptos teóricos e ideológicos de la libertad para que podamos inquirir si nuestras mentes, la de ustedes y la mía, pueden alguna vez estar realmente libres, libres de la dependencia del miedo, de la ansiedad, libres de los innumerables problemas, tanto de los conscientes como de los que se ocultan en las capas más profundas del inconsciente. ¿Puede existir libertad psicológica completa, de manera que la mente humana pueda dar con algo que no sea temporal, que no sea producto del pensamiento, y que al mismo tiempo no constituya un escape de las realidades de la vida cotidiana?

A menos que la mente humana esté del todo libre interna, psicológicamente, no es posible ver lo que es verdadero, ver si existe una realidad que no sea inventada por el temor, que no sea moldeada por la sociedad o por la cultura en que vivimos, y que no sea un escape de la rutina diaria, con su tedio, soledad, inquietud y desesperación. Para descubrir si realmente existe tal libertad, uno tiene que darse cuenta de su propio condicionamiento, de los problemas, de la monótona superficialidad, del vacío e insuficiencia de su vida cotidiana y, sobre todo, tiene que darse cuenta del temor. Uno ha de ser consciente de sí mismo no de manera introspectiva o analítica, sino dándose cuenta de cómo uno es en realidad, y ver también si es posible estar enteramente libre de todos esos problemas que parecen nublar y confundir la mente.

Para explorar, como vamos a hacerlo, tiene que haber libertad, no al final, sino desde el mismo principio. Uno no puede explorar, investigar o examinar las cosas a menos que sea libre. Para poder mirar profundamente se requiere no sólo libertad, sino también la disciplina necesaria para observar. La libertad y la disciplina van juntas (no es que uno deba ser disciplinado para luego ser libre). Usamos la palabra “disciplina” no en el aceptado sentido tradicional que implica conformar, imitar, reprimir según un patrón determinado, sino más bien con el significado de la raíz de la palabra, que es “aprender”. El aprender y la libertad van juntos, y la libertad genera su propia disciplina; no una disciplina impuesta por la mente para obtener cierto resultado. Estas dos cosas son esenciales: la libertad y el acto de aprender. Uno no puede aprender sobre sí mismo a menos que sea libre, de modo que pueda observar, no de acuerdo con algún patrón, fórmula o concepto, sino observarse a sí mismo tal como uno es. Esa observación, esa percepción, ese ver, generan su propia disciplina y su propio aprender. Esto no implica conformidad, imitación, represión o control de clase alguna; y en ello hay gran belleza.

Es un hecho obvio que nuestras mentes están condicionadas por una cultura o sociedad en particular, influidas por diversas impresiones, por las exigencias y tensiones de la vida de relación, por factores económicos, climáticos, educativos, por la conformidad religiosa, etcétera. Nuestras mentes están entrenadas para aceptar el miedo y para escapar, si ello es ...
  FundacionRosacruz | Nov 30, 2018 |
I like Krishnamurti because he doesn't pull any punches and he doesn't subscribe to a particular established ideology (nor does he recommend it). There is no sugarcoating that you find with certain self-help spiritual-esque "gurus." And many of them simply regurgitate things that he originally said anyway. Krishnamurti tells it like it is, and it makes sense: that our lives are stupid and petty, that we can't be free unless we completely let go of the past, that meditation isn't something we can just learn and then use to find whatever we think we're looking for, that our distance from nature has destroyed us and made us dependent on organized religion, and that the root of unhappiness is fear. I don't think this book is going to change my life (what book honestly can?), but it makes me think about certain things in a way that I probably wouldn't normally think. ( )
2 ääni S.D. | Apr 5, 2014 |
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Regarded as one of the great spiritual teachers of the twentieth century, Krishnamurti delivered his insights with simplicity. Here, in records of talks and dialogues in London, Paris, Amsterdam and Saanen, Switzerland, he speaks on freedom, fragmentation, radical change and more.

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